Galerie du Pistolet d'Or - Achat et vente de tableaux

subglobal2 link | subglobal2 link | subglobal2 link | subglobal2 link | subglobal2 link | subglobal2 link | subglobal2 link
subglobal3 link | subglobal3 link | subglobal3 link | subglobal3 link | subglobal3 link | subglobal3 link | subglobal3 link
subglobal4 link | subglobal4 link | subglobal4 link | subglobal4 link | subglobal4 link | subglobal4 link | subglobal4 link
subglobal5 link | subglobal5 link | subglobal5 link | subglobal5 link | subglobal5 link | subglobal5 link | subglobal5 link
subglobal6 link | subglobal6 link | subglobal6 link | subglobal6 link | subglobal6 link | subglobal6 link | subglobal6 link
subglobal7 link | subglobal7 link | subglobal7 link | subglobal7 link | subglobal7 link | subglobal7 link | subglobal7 link
subglobal8 link | subglobal8 link | subglobal8 link | subglobal8 link | subglobal8 link | subglobal8 link | subglobal8 link

Georges Collignon (Flémalle Haute , 1923 - Liège, 2002)

Cette aquarelle a été vendue par la Galerie du Pistolet d'Or

BIOGRAPHIE:

Après des débuts figuratifs à l'Académie de Liège (1939-1945), il évolua vers l'abstraction lyrique dès1946. Lorsqu' âgé de 27 ans, Georges Collignon remporta en 1950, avec Alechinsky, le prix décerné pour la première fois par "La Jeune Peinture Belge", son oeuvre attestait d'emblée une étonnante maîtrise formelle: l'espace résolument bidimensionnel se voyait rythmé par une accumulation de modules et de linéaments subtilement cloisonnés. C'est alors qu'il anima avec Léopold Plomteux la section liégeoise de "Cobra", puis qu'il participa aux activités du groupe "Art Abstrait". De 1951 a 1968, il alla vivre à Paris où il débuta une carrière internationale. Réticulée en alvéoles de couleurs pures, tramées sous la lumière, sa peinture se dynamisa vers 1954 dans de longues bandes s'étirant dans l'espace. La couleur plus intense et contrastee, en arriva à structurer des morphologies souplement géometrisées; puis vers 1957, elle s'organisa en une dynamique de puissants mouvements curvilignes. En 1958 enfin, le collage vint momentanément s'intégrer à la peinture et orienta son abstraction vers des formes plus modelées, d'une palette austère, mariant une fois encore la rigueur structurelle aux élans plus instinctifs du lyrisme. Vers 1965 toutefois, des éléments figuratifs réapparaissent dans sa peinture; progressivement, Collignon impose une découpe du reel mordante et insolite qui restitue, jusque dans les luxuriantes compositions des annees 80, un monde surréel où figure humaine et objets s'enlacent en une osmose plastique toute
personnelle.

Galerie du Pistolet d'Or rue du Hautbois, 35 - 7000 Mons

065/317097 ou 0479/965963

Ouvert le lundi, mardi, mercredi, vendredi et samedi de 14h30 à 19h.

Email: info@galeriedupistoletdor.com